Avec une classe de seconde du lycée Hugues Capet de Senlis (60), nous avons commencé, avec le soutien de l'enseignant-documentaliste M. Longuet et les enseignantes de lettres, par réfléchir à la question de l'eau sur la planète, et sur le style du discours.
Quatre groupes se sont formés dans la classe, pour aborder différents sujets liés à l'avenir de l'eau (la pollution plastique, la fonte des banquises, l'acidification des océans, la surpêche) et tenter d'écrire un discours à ce sujet - comme si on allait le prononcer à l'ONU...
Dans Plus loin que l'Horizon, cette question est omniprésente : dès le début avec le puits et l'eau potable, plus loin avec l'évocation de l'inégalité face à la consommation d'eau avec la thalasso, puis l'océan et ses déchets, la pêche, la fragilisation du littoral et du trait de côte, les baleines, et enfin, sujet central du livre : les réfugiés climatiques.
On s'est inspirés d'autres discours existants (comme celui de Greta Thunberg), ainsi que celui de Rokaya à la fin de Plus loin que l'Horizon.
Chaque groupe a lu son ébauche de discours, puis on s'est mis d'accord sur le discours que l'on souhaitait mettre en avant, pour aboutir à sa rédaction finale.
